Après une vaste expérience dans le journalisme, Monique Matni décide de se tourner vers les sciences sociales et fait son Master en Recherches comparatives en Anthropologie, Histoire et Sociologie à l’EHESS Marseille. Son enquête sur l’engagement citoyen dans la durée l’a fait rencontrer de nombreux acteurs des mouvements sociaux marseillais, notamment ceux qui luttent contre l’habitat indigne.
Actuellement en 2ème année de thèse en Anthropologie à l'EHESS Marseille, membre du Centre de recherche sur les circulations, le sliens et les échanges (CeRCLEs - EHESS), elle vit et travaille entre Rio de Janeiro et Marseille.