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  1. Event Marseille 1900-1943. La mauvaise réputation

    La visite du Mémorial des Déportations et de son exposition « Marseille 1900-1943. La Mauvaise Réputation", invite les élèves à réfléchir sur ce qui a conduit, en janvier 1943, Hitler à vouloir détruire Marseille. Après avoir défini les concepts de nationalisme, racisme, xénophobie, antisémitisme, "indésirables" et discrimination, les élèves sont mobilisés dans une recherche active au sein de l’exposition pour retrouver des éléments traitant des deux dimensions inséparables, réalités et représentations.
  2. Event Aaron

    Traqué par le FBI, l’hacktiviste Aaron Swartz se réfugie dans une classe. Son crime ? Télécharger des thèses universitaires payantes pour les diffuser gratuitement sur le web. Son combat ? Réduire les inégalités d’accès au savoir en conservant le rêve d’un Internet basé sur le partage et l’échange. Ponctué d’extraits d’un journal télévisé sensationnaliste, ce spectacle écrit et mis en scène par Fabrice Murgia et Vladimir Steyaert nous fait découvrir le destin méconnu d’Aaron Swartz (1986-2013), génie du Web et militant du libre accès à la connaissance et aux biens numériques. Quel Internet souhaitons-nous défendre ? DISTRIBURTION Texte et mise en scène : Fabrice Murgia et Vladimir Steyaert Avec Naïm Bakhtiar Interprètes en vidéo : Ferdinand Despy, Karen De Paduwa, Patrick Donnay, Alexis Gonzalez, Nancy Nkusi, Emilienne Tempels Création vidéo et habillage : Giacinto Caponio / ACTV Costume : Giacinto Caponio Production : Cie ARTARA & Cie Vladimir Steyaert Co-production : Théâtres en Dracénie, scène conventionnée-Draguignan En collaboration avec Bruxelles-Laïque et ACTV (Antenne Centre Télévision) Avec le soutien de L’École de la Comédie de Saint-Étienne / DIESE # Auvergne- Rhône-Alpes La Compagnie Vladimir Steyaert est conventionnée au rayonnement par la Ville de Saint-Etienne et subventionnée par le Département de la Loire. Vladimir Steyaert est artiste associé à Théâtres en Dracénie, scène conventionnée art et création-Draguignan
  3. Event Développer son esprit critique à l’ère de l’information

    À l’heure du développement de l’intelligence artificielle, de la prolifération des fake news et des deep fake, il est essentiel de se forger un esprit critique. Quelle valeur conférer à l’information ? Pourquoi une information est-elle plus crédible qu’une autre ? En naviguant entre différents exemples d’actualité, l’atelier invite chacune et chacun à s’interroger sur le rapport entre méthodologie scientifique et fiabilité de l’information.
  4. Event La guerre des mondes selon Orson Welles

    Un film de Cathleen O'Connell (2013, 53 minutes) Ce documentaire, qui joue lui-même avec le vrai et le faux en mêlant images d’archives et mise en scène de témoignages, revient sur l’histoire d’un canular orchestrée par Orson Welles sur les ondes de la CBS en 1938. Dans sa pièce radiophonique inspirée de l’œuvre de science-fiction de H.G. Wells « La guerre des mondes » (1898), le réalisateur simule un bulletin d'informations sur une attaque extraterrestre en cours. Des dizaines de milliers d'auditeurs qui écoutaient la radio dans la nuit du 30 octobre 1938, veille d’ Halloween, ont crû qu’il s’agissait d’une vraie attaque. À l’issue de la projection, la rencontre permettra d’aborder les limites et l’ampleur des notions d’informations et de désinformations.
  5. Event La preuve par l’image ? L’exemple de la bataille de Verdun

    Au printemps 1915, alors que la guerre de position s’installe, est créée en France la Section photographique de l’armée (SPA). Ce service de photographie officielle d’État répond à trois impératifs : lutter contre la propagande ennemie, réunir des archives pour documenter le conflit, inventorier les monuments détruits. Si les photographes sont au plus près de la réalité du terrain, leurs images sont bien loin de l’authenticité d’un enregistrement instantané et mécanique du réel. Est-ce que l’image peut « faire preuve » dans ce contexte ? Cet atelier propose de décrypter un corpus de photographies officielles autour de la bataille de Verdun et de les confronter à des images censurées pour interroger leur valeur documentaire dans le cadre de cette communication contrôlée
  6. Event À qui appartiennent les murs ? Histoire des écritures urbaines

    Le paysage urbain, et particulièrement celui de Marseille, se distingue par la présence sur ses murs d’écritures et d’images qui revêtent la forme d’affiches, de collages militants et de graffiti. Cette présence visuelle, à la fois discrète et omniprésente, interroge : mais à qui donc appartiennent ces murs ? Au pouvoir qui s’en sert comme support de propagande et qui légifère sur le droit ou l’interdiction d’afficher ? Aux entreprises qui y étalent leur publicité ? Aux citoyens s’en servant comme espace de revendication ou d’expression artistique ? À partir d’affiches marseillaises du XVIIIe siècle, directement tirées des fonds des Archives municipales de la ville de Marseille, les élèves sont invités à réfléchir aux différents enjeux de propriété et d’usage des murs de la cité phocéenne, du temps des Lumières jusqu’à nos jours.
  7. Event Jeu (Dés)informer le passé : info ou intox ?

    Quels problèmes soulève l’appropriation politique d’un récit historique? À partir d’enquêtes et de supports médiatiques couvrant trois périodes de l’Histoire (Moyen Âge, Révolution française et guerre d’Algérie), cet atelier participatif propose d’observer la façon dont les récits du passé ont été instrumentalisés et de se questionner ensemble sur les limites du terme « déformer ».
  8. Event « Conférence de rédaction »

    Le journal historique La Marseillaise ouvre les portes de sa rédaction à une classe de lycéens le temps d’une matinée. C’est l’occasion pour eux de découvrir comment la rédaction s’accorde sur les sujets à investiguer avant le départ des journalistes sur leurs différents reportages. La rencontre se poursuit avec le président du journal et son directeur éditorial sur la production et la communication de l’information, les méthodes de fact-checking, mais aussi l’interprétation des faits et les différents modes de narration.