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La visite du Mémorial des Déportations et de son exposition « Marseille 1900-1943. La Mauvaise Réputation", invite les élèves à réfléchir sur ce qui a conduit, en janvier 1943, Hitler à vouloir détruire Marseille. Après avoir défini les concepts de nationalisme, racisme, xénophobie, antisémitisme, "indésirables" et discrimination, les élèves sont mobilisés dans une recherche active au sein de l’exposition pour retrouver des éléments traitant des deux dimensions inséparables, réalités et représentations.

Représentations du système médiatique, impensés et réflexes : venez challenger la manière dont vous vous informez lors de cet atelier mobilisant des outils de l’éducation populaire tels qu’ils sont utilisés en éducation critique aux médias. Cet événement aura lieu dans la Salle de cours de l'EHESS (centre de la Vieille Charité).

Au cours d’une balade au cœur du centre-ville, les participants feront l’expérience de l’affichage marseillais du XVIIIe siècle, une période où les habitants scrutent les murs à l’affût des nouvelles officielles, des spectacles en vue et des dernières bonnes affaires. Ce détour par l’histoire permettra de penser un monde où les murs sont appropriés et où différents types d’informations s’y déploient, au point de perdre les lecteurs des affiches dans un flot de contenus diluant leur attention. Le départ de cet événement est fixé au Cours Julien.

Parodie, pastiche ou contrefaçon : rien n’épargne ni la littérature, ni la bande dessinée, ni ses personnages, à l’instar de Tintin & Cie, Lucky Luke, Corto Maltese ou Tarzan. Si les artistes créateurs de ces œuvres ont pour la plupart disparu de l’Histoire, on retrouve parfois en Italie ou en Allemagne des maisons d’éditions, closes depuis longtemps. Les Fonds Rares et Précieux renferment ces petites merveilles, trésors souvent oubliés du 9ème art. ATTENTION : jauge maximale de la visite fixée à 10 personnes. Uniquement sur réservation

Traqué par le FBI, l’hacktiviste Aaron Swartz se réfugie dans une classe. Son crime ? Télécharger des thèses universitaires payantes pour les diffuser gratuitement sur le web. Son combat ? Réduire les inégalités d’accès au savoir en conservant le rêve d’un Internet basé sur le partage et l’échange. Ponctué d’extraits d’un journal télévisé sensationnaliste, ce spectacle écrit et mis en scène par Fabrice Murgia et Vladimir Steyaert nous fait découvrir le destin méconnu d’Aaron Swartz (1986-2013), génie du Web et militant du libre accès à la connaissance et aux biens numériques. Quel Internet souhaitons-nous défendre ?

Ce serious game propose aux participants et participantes de questionner leur rapport à l’information. Il repose sur une situation fictionnelle où NewNews deviendrait l’unique chaîne d’informations. Pour penser et élaborer le contenu, les promoteurs de la chaîne ont besoin de l’aide du public. Par le biais de mises en situation parfois loufoques, les participantes et participants sont amenés à réfléchir aux enjeux démocratiques d’accès à l’information, à la (dis)qualification des situations et à la production du savoir.

Il y a des villes où les dénonciations sont plus fréquentes qu’ailleurs, des villes maudites qui finissent par avoir une mauvaise réputation. C’est le cas de New York, Boston, Chicago, Glasgow, Montréal ou Naples. A Marseille, l’invention et la consolidation de stigmates s'observent sur une très longue durée. Rencontre au sein de l'exposition l’exposition « Marseille 1900 – 1943. La mauvaise réputation ».

Ce serious game propose aux participants et participantes de questionner leur rapport à l’information. Il repose sur une situation fictionnelle où NewsNews deviendrait l’unique chaîne d’informations. Pour penser et élaborer le contenu, les promoteurs de la chaîne ont besoin de l’aide du public. Par le biais de mises en situation parfois loufoques, les participantes et participants sont amenés à réfléchir aux enjeux démocratiques d’accès à l’information, à la (dis)qualification des situations et à la production du savoir.

Traqué par le FBI, l’hacktiviste Aaron Swartz se réfugie dans une classe. Son crime ? Télécharger des thèses universitaires payantes pour les diffuser gratuitement sur le web. Son combat ? Réduire les inégalités d’accès au savoir en conservant le rêve d’un Internet basé sur le partage et l’échange. Ponctué d’extraits d’un journal télévisé sensationnaliste, le spectacle nous fait découvrir le destin méconnu d’Aaron Swartz (1986-2013), génie du Web et militant du libre accès à la connaissance et aux biens numériques. Quel Internet souhaitons-nous défendre ?